Zoom sur les looks de la célèbre série Downtown Abbey

Parmi les éléments qui ont fait le succès de la série Downtown Abbey, il y a sa dimension historique (l’Angleterre des années 1910-1920) et, justement, la manière dont les costumiers ont reproduit les looks de cette époque, les tenues vestimentaires telles qu’elles ont évolué.

À travers cet article, Mamz’Elle Swing vous en dit plus sur la garde-robe et les accessoires qui ont fait le succès de la série.

Un look qui évolue

Au début de la série, les vêtements sont plus sobres, le code plus strict, avec les fameux corsets edwardiens, synonymes de rigueur. Des tissus nobles tels que la soie ou le satin sont privilégiés.

Les bijoux, sans fantaisie mais luxueux de la première partie de la série reflètent cet état d’esprit classique mais luxueux : on se pare de tiares et de colliers d’un raffinement absolu.
Quant aux coiffures, elles se veulent pleinement sophistiquées : les franges sont légion, quand elles ne sont pas cachées par de chics chapeaux à fleurs. Les escarpins, des gants d’une délicatesse infinie et de précieuses minaudières viennent compléter cette distinction classique.

La période années folles

Que ce soit au niveau des vêtements, des bijoux, des chapeaux, des accessoires ou de la coiffure, rien n’est laissé au hasard dans la série.

Lorsque les années folles battent leur plein, en revanche, on retrouve l’extravagance des costumes à plumes, des bandeaux et des bijoux à perles scintillants. La fièvre du charleston se ressent jusque dans les détails : les coiffures soufflent un vent de liberté, confirmé par le dégagement du cou.

Downtown Abbey : quand les vêtements font parler l’histoire

Les looks des différents personnages de Downtown Abbey ont forcément participé à forger sa belle réputation.

Il faut dire que les costumiers, les accessoiristes, ou encore les maquilleurs ont tout mis en œuvre pour nous replonger dans l’esthétique d’une époque et des différentes phases qui l’ont ponctuée : l’on voit comment l’aristocratie anglaise a vu ses mœurs se libérer entre les années austères de la guerre… et l’émancipation des années folles.

Voilà aussi ce que célèbre Mamz’elle Swing : la manière dont l’habit peut prendre et donner du sens, dans une œuvre telle que cette série mythique.